Après l’ouverture de son restaurant Coquette en début d’année, le W Paris-Opéra provoque une nouvelle étincelle dans la Ville Lumière avec l’ouverture de Brûlé, son tout nouveau cocktail club. Niché au premier étage de l’immeuble haussmannien, avec son accès privé et ses larges baies vitrées donnant sur l’Opéra Garnier, Brûlé attire parisiens et jetsetters du monde entier. Ouvert uniquement du jeudi au samedi, de 19h00 à 3h00, les soirées de Brûlé s’annoncent d’ores et déjà électriques et feront vibrer le tout Paris de la mode, de la musique et du design.

Le nom du bar Brulé ainsi que son design, font référence au concept créatif de l’hôtel : « The Spark » ou étincelle. Cette étincelle née de la fusion entre l’énergie sans fin de New York et Paris ville des lumières parcourt l’hôtel depuis le lobby jusque dans les chambres et a fini par s’embraser au 1er étage et « brûler » le bar. C’est donc tout de noir vêtu que Brûlé affiche son cadre intimiste et feutré : murs en cuir capitonné, parquet et rideaux sombres, alcôves au style contemporain et intimiste, éclairage tamisé à la bougie, lustres à pampilles noirs, coussins en cuir tressé noir, en fourrure ou à sequin et perles donnent à l’ensemble une touche baroque.

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C’est par la magistrale porte en bois datant de 1870 au 2 rue Meyerbeer que l’expérience exclusive offerte par Brûlé commence. L’escalier menant au 1er étage a été investi par le graffeur Ludo. Sous une lumière fluorescente bleutée, il y réinterprète le célèbre « I heart NY » en lui donnant une touche parisienne. Dans la Red box, dernier sas avant d’entrée au cœur de Brûlé, le rouge prédomine par la force du mur pixélisé, comme au cœur des flammes, au cœur de l’étincelle.

Dans le bar, le comptoir de plus de 8m de long s’impose d’emblée comme la pièce maitresse du lieu. Dessus en zinc, façade aux moulures empilées, son design fait écho à l’héritage haussmannien du bâtiment. La fresque qui le surplombe, créée par le street artist Yué Wu, retrace les folles soirées parisiennes depuis la Belle Epoque jusqu’aux fameuses nuits du Palace en passant par les années folles. Sur ces 8m de long, ce ne sont pas moins de 50 personnages du monde de la musique, de la mode et du design qui s’affichent et qui rendent hommage à la vie nocturne parisienne. On peut notamment reconnaitre la première muse métisse de Azzedine Alaïa, Beaumarchais, mais aussi le peintre japonais Foujita ou encore Kiki de Montparnasse et Tekilatex.

La partie lounge avec ses banquettes en cuir a été investie par Fafi, graffitti-artist. Ses célèbres fafinettes flottent et dansent aux sons des meilleurs DJs. Nasty, référence incontournable du graffiti parisien a été jusqu’à investir les toilettes en y graffant les poèmes « Le Jeu » et « Les Hiboux » de Charles Baudelaire, clin d’œil aux oiseaux de nuit qui fréquenteront Brûlé.

2 rue Meyerbeer , 75009 Paris, tél. : 01 77 48 94 94 – @barbrule

Ouvert du jeudi au samedi de 19h à 3h – Privatisation possible les autres jours.

www.bar-brule.fr