Exclusivement réservé aux boutiques diptyque, cet ovni olfactif rejoint Benjoin Bohème, Eau Mage et Ôponé. Autant de propositions étonnantes qui n’ont qu’un but : susciter une émotion vive. Kimonanthe est née de la rencontre entre deux senteurs improbables. L’osmanthus, cette fleur blanche asiatique qui évoque à la fois l’abricot, le lait et le cuir, et la poudre d’encens. En effet, Myriam Badault possédait depuis longtemps une petite boîte en bois dans laquelle les Japonais conservent de l’encens réduit en poudre : le zukoh. On le frotte au creux des mains pour se purifier,
on le respire pour se sentir mieux, on le jette vers le ciel pour communiquer avec le divin.

kimonanthe
Elle propose alors au parfumeur Fabrice Pellegrin de réfléchir à un bouquet d’osmanthus enraciné dans une infusion d’encens. Le résultat échappe à toute tentative de classification olfactive. Un monde à part s’ouvre brusquement. Camphré, giroflé, santalé, épicé, cuiré. Le parfum se comporte sur la peau comme une poupée russe en constante mutation, embarquant les sens vers une vapeur de sirop et d’abricot confit, prenant ensuite la forme d’un remède ancestral puis d’une fumée sacrée. Réalisée en verre craquelé par la Maison Waltesperger, comme les opus précédents
de la Collection 34, Kimonanthe est coiffée d’un bouchon en résine très particulier, élaboré par un fabricant d’accessoires de mode et de bijoux. Inspiré par les colliers de perles que Christiane Gautrot, co-fondatrice de la Maison diptyque, confectionnait pour la boutique du 34 boulevard Saint Germain.

En vente au prix de 150€ le flacon 100ml

www.diptyqueparis.com/kimonanthe

 

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