Avec le projet Blue Forest, DoDo, soutient un nouveau projet en faveur de l’environnement. En collaboration avec l’organisation à but non lucratif Tēnaka, 3 000 arbres de mangrove sont replantés dans l’État de Sabah sur deux hectares de côte malaisienne. En association avec vingt biologistes et opérateurs locaux, Tēnaka incite les habitants et les étudiants de la communauté à valoriser l’importance et la préservation des mangroves.
DoDo Blue Forest qui poursuit l’engagement constant et indéfectible de la marque : restituer à l’environnement d’importants écosystèmes afin de garantir la préservation de la biodiversité pour le futur. Faisant suite à la collaboration de l’année dernière avec l’entreprise sociale pour la restauration de 1 000 m² de récif corallien malaisien à Tioman. DoDo, aux côtés de Tēnaka – créée par Anne-Sophie Roux – reconnaît l’importance des océans et des actions de réensauvagement grâce à la reconstruction et à la protection des mangroves, ces zones menacées de déforestation.
Le concept de carbone bleu fait référence au carbone retiré de l’atmosphère par les écosystèmes côtiers et marins. Nous considérons souvent les forêts terrestres comme les plus grands puits de carbone de notre planète. En réalité, 83 % du cycle mondial du carbone circule dans l’océan et ce sont les écosystèmes côtiers, tels que les mangroves, qui représentent la moitié de la totalité du carbone absorbé.
Les mangroves sont extrêmement productives : en effet, la quantité de carbone qu’elles stockent par hectare peut être jusqu’à dix fois supérieure à celle des forêts terrestres. Elles offrent une protection contre les tempêtes et l’élévation du niveau de la mer. Elles préviennent l’érosion des côtes et constituent l’habitat de nombreux poissons, crustacés et reptiles. Enfin, en contribuant à la conservation des espèces marines menacées, elles assurent la sécurité alimentaire de la vie côtière. Malgré leurs indiscutables bénéfices, les écosystèmes côtiers de carbone bleu sont parmi les plus menacés de la planète avec, selon les estimations, 50 % des mangroves détruites ou perdues au cours de ces cinquante dernières années. Il n’y a pas de temps à perdre : la marque de joaillerie milanaise a donc décidé de s’associer à Tēnaka pour la réalisation de ce nouveau projet.
Pour restaurer les mangroves, les biologistes de Tēnaka récoltent de nouvelles pousses d’arbres de mangrove, puis les font pousser en pépinière pendant 6 à 12 mois. Une fois matures, les petites mangroves sont retirées de la serre et plantées à marée basse. Soignées chaque semaine pour garantir leur croissance, les mangroves sont surveillées par les biologistes de Tēnaka, assistés par des étudiants qui travaillent à leurs côtés sur chaque plantation.
A cette occasion Dodo, petite sœur de Pomellato lance en édition limitée un bracelet en plastiques recyclés (et argent) issus des filets de pêche trouvés dans la mer Méditerranée en vente au prix de 130€.