C’est une histoire née d’une amitié et d’une curiosité partagée pour la beauté du geste. Eva Green et Hadrien Wolff, amis d’enfance, ont uni leurs regards et leurs sensibilités pour créer Seiun, un saké singulier brassé au Japon, entre Kyoto et Osaka, au cœur d’une brasserie bicentenaire.

Légèrement pétillant, faiblement alcoolisé (8 %), Seiun surprend par sa délicatesse. Derrière sa robe trouble se cache un saké nigori, où demeurent de fines particules de riz, comme une poussière d’étoile en suspension. Un équilibre précis entre douceur et acidité, relevé de notes d’agrumes et de fleurs blanches. Mais Seiun n’est pas qu’un saké : c’est une expérience sensorielle à la frontière du rituel et de la modernité. Chaque cuve de fermentation a été exposée à des vibrations sonores, des fréquences musicales et même des sons venus de l’espace — une approche poétique et scientifique à la fois, visant à influencer la fermentation. Son nom, Seiun, signifie en japonais nébuleuse, clin d’œil à l’aspect laiteux du breuvage, mais aussi à la genèse des étoiles. Artisanal, accessible et profondément inspiré, Seiun se déguste très frais, à l’apéritif ou en accompagnement d’un repas. Un saké à l’image de ceux qui l’ont imaginé : libre, audacieux, et un peu céleste.

En vente à La Grande Épicerie de Paris et sur seiun.fr