Eugène Riconneaus est une marque française chaussant les femmes indépendantes, sophistiqués et rebelles. L’ADN de la marque se retrouve dans chaque création prônant l’émancipation, la transgression et la transversalité. La femme Eugène Riconneaus est une beauté authentique. Authentique et belle par ce qu’elle est, et non par ce qu’elle doit. Il redistribue les cartes.
Né à Blois, terre des reines et rois de France, Eugène a grandi dans la culture underground et skateboard. Il rappelle ses origines et son enfance à travers des éléments hérités du château de Chambord, de Marie Antoinette ou de Louis XIV. La royauté se retrouve dans nombreuses créations ; dans la «couronne» à l’arrière de ses escarpins affirmant l’autorité et Le pouvoir, ou dans la soie rappelant le raffinement de Marie Antoinette.
Les collections Eugene Riconneaus sont élaborées à partir des matériaux les plus nobles et dans la plus parfaite tradition française. Les détails en or 24 carats viennent se mêler aux meilleures soies et cuirs. Dans le but d’honorer ses origines et les maîtres-bottiers qui lui ont transmis son art, Eugène Riconneaus produit exclusivement ses créations sont entièrement réalisées à la main en France, Italie et Portugal. Chaque soulier devient alors une oeuvre d’art.
Eugène est aussi un artiste. Sa première exposition a eu lieu avec le réalisateur indépendant Larry Clark. Sa proximité avec l’art le positionne autant comme artiste plasticien, photographe que comme chausseur. Chaque soulier est instinctivement relié à l’univers artistique du créateur.
Chaque saison, en tant qu’artiste, Eugène Riconneaus présente une collection de souliers peinte par lui-même inspirée de son univers artistique et connecté à ses œuvres dans une galerie. Chaque soulier est une pièce d’art. Cette peinture est réalisée à la main par Eugène, qui est également un plasticien reconnu sur le marché de l’art. En conséquence, Art Collection est à propos de créations uniques, originales et exclusives.
Crédits photos : Hugo Fazi pour la campagne et Terence Hassen pour le portrait