L’impact de l’industrie de la mode sur l’environnement est bien connu : responsable de 10 % des émissions de gaz à effet de serre, il utilise 4 % de l’eau potable disponible sur la planète. Cette industrie véhicule des standards de beauté irréalistes et nourrit une injonction à la minceur qui a des conséquences si négatives sur la psyché féminine. Le secteur de la lingerie, lui aussi, pose de nombreux problèmes en proposant des soutiens-gorge pas toujours adaptés aux différentes morphologies féminines, et donc peu confortables, dans des matières qui ne respectent pas la sensibilité de nos parties intimes, et en diffusant les images d’une poitrine stéréotypée idéale.
C’est pour offrir une autre vision de la lingerie que Bénédicte d’Elloy a fondé éjwé. Minimaliste et écoresponsable, la jeune marque met en valeur la diversité des femmes et de leur corps, participant, à son échelle, à créer un monde plus bienveillant et inclusif.
la marque propose une collection d’essentiels de la lingerie. Faits en coton bio, ses culottes et soutiens-gorge ont un design épuré et féminin, et sont vendus à un tarif accessible (du S au XL). Dans une optique écoresponsable, la marque ne propose pas de collections saisonnières ni de soldes. Ses produits sont de vrais intemporels, des essentiels pour tous les jours et pour toutes les femmes. Déclinés dans des couleurs chaudes, les soutiens-gorge d’éjwé ont pour particularité de n’avoir ni armature, ni rembourrage : ils laissent la poitrine se placer naturellement, et accompagnent les mouvements.
En ventre entre 27 € et 59 €